Poursuite de la prote­station mondiale contre festival de la viande de chien Yulin


4 juillet 2017

Récemment on a annoncé que le gouvernement chinois interdirait la vente de viande de chien, pendant le festival de la viande de chien annuel Yulin. C’est ce qui est arrivé après les protestations mondiales de masse des citoyens concernés, des militants locaux et d’autres groupes par entre autres des pétitions et les médias sociaux. La population chinoise s’en révolte également de plus en plus. Une enquête chinoise des diverses organisations de droits des animaux montre qu’une grande majorité des répondants est pour l’interdiction de la fête Yulin infâme et même pour l’abolition totale de la consommation de la viande de chien. Le Parti pour les Animaux appelle ses partisans à signer la pétition contre la vente de viande de chien.

Au cours du festival annuel Yulin le 21 juin, environ 10 000 chiens sont abattus uniquement à être mangés par les festivaliers. Contrairement à ce qui est souvent affirmé, ce n’est pas une fête traditionnelle, mais elle n’existe que depuis 2009. La plupart des chiens sont des animaux volés. De plus, les animaux sont souvent gravement malades et blessés, et le commerce de la viande de chien est, étant donné le risque de la rage et le choléra, une menace grave pour la santé.

Les organisations de protection des animaux signalent que, bien que les autorités chinoises aient promis d’agir durement contre la vente de viande de chien au festival, l’interdiction est encore à peine maintenue. C’est la raison pour laquelle le Parti pour les Animaux, ainsi que d’autres organisations, a appelé ses partisans à poursuivre à signer la pétition d’Avaaz contre Yulin. Ainsi la pression sur le gouvernement chinois reste élevée pour faire respecter vraiment l’interdiction. Depuis l’appel du Parti pour les Animaux le 28 juin, plus de 4000 partisans du Parti pour les Animaux aux Pays-Bas ont déjà signé la pétition. Dans le monde entier, des millions de signatures ont déjà été recueillies.

Des militants chinois soulignent que l’interdiction de la viande de chien pendant Yulin est un bon pas en avant, mais il ne faut pas oublier qu’il y a un plus grand problème du commerce quotidien de la viande de chien à travers tout le pays. Un tel problème a besoin d’une approche holistique et cohérente selon les militants.

It was recently reported that the Chinese government was to ban dog meat sales at the annual Yulin Dog Meat Festival, as a result of mass protests by concerned citizens, local activists and other groups throughout the world, through petitions and social media. In China too, more and more people are rebelling. A Chinese survey of several animal rights organisations shows that the vast majority of respondents are in favour of a ban on the notorious Yulin Festival and on eating dog meat altogether. The Party for the Animals calls upon its members to sign the petition against the sale of dog meat.

At the annual Yulin Festival on 21 June, around 10,000 dogs are slaughtered and eaten by visitors of the festival. Contrary to popular belief, the Yulin festival is not a traditional event but one invented in 2009. Many of the dogs are stolen pets. As many of the animals are seriously ill or injured, the dog meat trade poses a serious threat to public health considering the risk of rabies and cholera.

Animal welfare organisations report that, despite promises of the Chinese authorities to fight against the sale of dog meat, the ban is barely maintained. That is why the Party for the Animals and other organisations involved have called on their members to keep signing the Avaaz petition against Yulin, in order to put pressure on the Chinese government to uphold the ban. Since the Party for the Animals’ appeal of 28 June, over 4,000 supporters of the Dutch Party for the Animals have already signed the petition. Worldwide, millions of signatures have been collected.

Chinese activists point out that although the ban on dog meat sales at the Yulin Festival is a good step forward, we must not forget about the even bigger issue of the daily dog meat trade throughout the entire country. This problem needs a holistic and consistent approach, according to the activists.